• La montée de Mélenchon dans les sondages donnent de l'urticaire à pas mal de monde, en particulier aux biens pensants, à tous les laudateurs de l'ultralibéralisme, aux possédants, à Hollande, à Fillon, à Macron, à Le Pen, et même à un certain Laurent Berger, secrétaire de la Cfdt, supporter de la loi Elkhomeri. La "panique" suscitée par cette montée est traitée avec beaucoup d'humour par Charline  Vanhoenacker, sur France inter.

     

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  •  Jacques Casamarta et Christine Malfroy

    candidats de la Corse insoumise aux prochaines législatives dans la 1ère circonscription de la Corse du Sud

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    Amplifions la dynamique Mélenchon

     

    Echos de campagne

    Depuis quelques jours tous les media parlent d’une dynamique en faveur de Jean-Luc Mélenchon. Et cela ne fait pas plaisir à tout le monde. On peut mesurer cette dynamique sur le terrain, lors de rencontres, discussions, tractages et autres manifestations publiques ou privées. C’est une excellente nouvelle.

    Echos de campagneLa question qui se pose désormais est de savoir si cette dynamique est un feu de paille, une embellie. Il nous faut donc tout faire pour la maintenir, l’amplifier afin que notre candidat se qualifie pour le second tour de la présidentielle et remporte l’élection. C’est le seul moyen de sortir de trois décennies de politiques d’austérité et de régression sociale, au service exclusif des marchés financiers. De même de mettre un terme définitif à cette monarchie présidentielle qui sévit dans notre pays depuis 1958 et de redonner la parole aux citoyens, en particulier à ceux qui ont en sont le plus privés, à savoir les salariés, les chômeurs, les humbles.

    Il faut donc amplifier cette dynamique. C’est un engagement de tous les

    Echos de campagne

    comités de la France insoumise, toujours plus nombreux. Les comités Corse/Corsica ribella entendent y prendre toutes leurs places. Ils multiplient à travers l’île les réunions publiques, les rencontres tout azimut. Les dernières en date : deux débats publics à Bastia le 5 avril et à Ajaccio, le 6 avril. Le premier a rassemblé 120 personnes, le deuxième, 105. Ces débats avaient un caractère inédit, du moins en Corse. Il n’y avait pas d’un côté ceux qui apportaient la bonne parole et d’un autre côté de simples auditeurs. La règle a été bouleversée. Les participants se sont regroupés en plusieurs « ruches », par groupe de 10 personnes. Dans chacune de ces « ruches » était posée une question précise. Par exemple : « Faut-il révoquer les élus ? », « Faut-il que laEchos de campagnedéfense du littoral soit inscrite dans la constitution ?», « Faut-il une place particulière pour la Corse dans la constitution ? », etc. Ce type de structure souple a permis à tous les participants d’exprimer une opinion. A l’issue des travaux en « ruches », et pour chacune d’entre elles, il a été présenté la synthèse de la discussion. Il faut l’avouer, au début des deux réunions régnait un certain scepticisme sur le mode d’organisation des travaux. Mais l’expérimentation de ce mode a permis de faire tomber les doutes.

    A l’issue des synthèses, Raquel Garrido, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon devait aborder le problème de la 6e république. Pourquoi changer de constitution ? Le pays a suffisamment payé cher la monarchie dite républicaine qui donne tous les pouvoirs à un seul homme. Il faut la changer pour accompagner ou fixer un nouveau cadre et de nouveaux rapports entre les citoyens et les institutions de la République. Comme pour mettre en œuvre plus efficacement toutes les mesures contenues dans le programme l’Avenir en commun. Cette mise en place de la nouvelle constitution se fera par étape, à partir d’une constituante. Cette constitution sera proposée aux Français par voie référendaire.

    Echos de campagneRaquel Garrido a surtout insisté sur le caractère démocratique de la nouvelle constitution qui redonnera la parole à tous les citoyens. Il faut en finir avec les castes, les dynasties politiques et la professionnalisation des élus. Ces derniers auront des comptes à rendre et pourront être révoqués. Leur mandat  sera exclusif. Pas de cumul et réduit dans le temps.

    Les deux réunions à Bastia et à Ajaccio ont été une excellente contribution au débat pour un vrai changement de gauche dans notre pays. D’autres initiatives sont prévues.

    Il est grand temps de sortir le pays des politiques d’austérité. Il est grand temps que les gens reprennent en main leurs propres destins.

    C’est possible avec Jean-Luc Mélenchon et le programme l’Avenir en commun.

    Echos de campagne

     

     

     

     

     

                                          

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    Santé et Energie

    deux secteurs vitaux

    Echos de campagne

     

    Une cinquantaine de personnes ont participé, mercredi 30 mars, au Locu teatrale, à Ajaccio,  à un débat sur le thème : « Santé et Energie ».


    Echos de campagneIl est ressorti de la discussion que le secteur public de la santé connaît une détérioration significative depuis plusieurs années : dégradation des conditions de travail dans les hôpitaux, manque de personnel, suppression massive de lits, etc. Le quinquennat de François Hollande n’a pas remédié à la situation. Le risque est grand de voir cette situation s’aggraver si un des candidats de droite ou d’extrême droite arrivait au pouvoir. Par exemple, monsieur « casserole », le vertueux de la Sarthe, ne propose-t-il pas de supprimer 500.000 fonctionnaires, donc des agents hospitaliers ! Et de renforcer le caractère ultra libéral de la gestion des hôpitaux, exclusivement financière et comptable. On peut mesurer l’impact des propositions de Fillon sur un secteur déjà sinistré.

    La situation en Corse n’est pas particulièrement brillante. Loin s’en faut. Le futurEchos de campagne hôpital d’Ajaccio, obtenu grâce à l’action inlassable pendant des années de la population, des associations et des syndicats, en particulier de la C.g.t, s’avère, avant sa mise en activité, fin 2018, déjà insuffisant pour satisfaire pleinement les besoins futures du bassin ajaccien.

    C’est une autre politique de santé qu’il faut, en rupture avec la situation actuelle. La santé n’est pas une marchandise et ne doit pas devenir une source de profit. Elle doit être considérée comme une exigence commune et solidaire. C’est ce que propose le programme « l’Avenir en commun » de la France insoumise. Il faudra consacrer des efforts exceptionnels pour couvrir les besoins de la population et de répondre aux revendications légitimes des personnels du secteur. De même, il s’agira de créer un pôle public du médicament pour soustraire un secteur vital de l’appétit des grands groupes pharmaceutiques qui y réalisent de très substantiels profits sur le dos de la Sécurité sociale et des patients.

    Quant à la Sécurité sociale, elle doit retrouver sa fonction première, telle qu’elle a été définie par le Conseil National de la Résistance : assurer à tous un chacun d’accéder aux soins de santé et d’avoir une retraite décente pour tous. Elle doit être universelle et solidaire. Elle aura pour vocation de rembourser à 100% tous les frais de santé. C’est tout le contraire de ce que proposent tous ces gens qui n’ont qu’un seul mot à la bouche : rentabilité et qui préconisent sa disparition pure et simple pour la remplacer par des assurances privées. Adieu le principe de solidarité. Chacun pour soi et dieu pour tous !

    Echos de campagneL’énergie était également au programme. Elle occupe une place fondamentale, comme l’eau et la santé, dans la vie de tous les jours. Imaginons un monde sans électricité ou gaz ! Là aussi, on s’aperçoit qu’elle n’est plus considérée comme un bien commun. Le profit pénètre en force et veut liquider tout ce qui ressemble justement à ce bien commun. Le gaz a été privatisé, comme les compagnies pétrolières. L’Edf en prend le chemin, avec tous les risques que cela comporte tant au niveau des prix au public, que la sécurité des centrales nucléaires et de leur nécessaire démantèlement dans les prochaines décennies. Donc, dans ce secteur, il s’agira aussi de revenir à un pôle public de l’énergie, moderne, efficace, s’inscrivant dans la transition écologique. Pôle intégrant toutes les activités amont et  aval. Le programme « l’Avenir en commun » prévoit toute une série de mesures échelonnées dans le temps : utilisation de l’éolien, du photovoltaïque, des courants marins, réhabilitation et développement des usines hydrauliques menacées de privatisation, économie d’énergie par l’isolation des bâtiments, etc. Ces mesures seront créatrices d’emplois utiles et très qualifiés.

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                                            La laïcité

    Un pilier de l'école républicaine

     

     L’Avenir en Commun, programme de la France Insoumise,  porté par Jean-Luc  Mélenchon,  affirme avec force ce principe de laïcité comme étant  porteur de droits inaltérables, garantis à tout membre de la société, français ou étranger.

    Les groupes d’appui, JLM 2017 Corse Insoumise, s’insurgent contre les questionnaires destinés aux élèves des écoles primaires et des collèges de Corse !

    Notre programme s’engage pour une défense sans faille d’une école républicaine et laïque.

    Dans cette conception républicaine, l’école se doit d’être garante de la séparation du politique et du religieux.

     De cette séparation doit découler une neutralité totale de l’institution scolaire à l’égard de toutes les convictions philosophiques, religieuses et politiques.

    Comment, dans les instances politiques et au sein même de l’Education Nationale, a-t-on pu imaginer que l’utilisation de telles enquêtes, tant sur le fond que sur la forme, ne se fasse pas au détriment de ce socle laïc  et, qui plus est, au détriment de la sérénité des enfants dont l’école a la charge ?

    Pour nous, l’école républicaine doit être ce lieu de l’acquisition des savoirs scolaires et de la construction d’un esprit critique éclairé.

    Cela ne peut se faire que dans le respect le plus strict des règles de la laïcité et, puisqu’il faut ici le rappeler, dans le respect le plus strict des Droits de l’Enfant.

     

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    Nous refusons de choisir entre le pire et le moins pire

    Nous voulons le meilleur

    La CGT vote pour le progrès social

    A l’approche des élections présidentielles, la CGT souhaite continuer de porter des exigences économiques, sociales et environnementales durant cette campagne. C’est plus que jamais l’enjeu de la période et l’exigence des salariés, des retraités, des privés d’emploi et de la jeunesse. Cette campagne électorale s’éloigne trop régulièrement de ces attentes et des vrais problèmes, minée par des affaires ou des débats bien loin du quotidien et de la réalité du monde du travail. Nous nous félicitons que les luttes de centaines de milliers de salariés, permettent qu’aujourd’hui, les questions du travail, de la précarité, de la protection sociale, de l’égalité femmes-hommes, des salaires, de l’industrie, des services publics, et de paix trouvent une place dans le débat public. Elles doivent s’imposer dans cette campagne politique. Depuis plusieurs mois, la CGT porte des propositions alternatives économiques et sociales en adéquation avec les exigences, les possibilités de notre époque et les aspirations des travailleurs, retraités, privés d’emplois. Elle porte au cœur de sa démarche, la question du travail. Derrière ce mot, nous parlons de son organisation, du paiement des qualifications et de l’expérience, de la formation initiale et continue, des souffrances qu’il peut générer sur la santé. Il est insupportable que certains perdent leur vie au travail, pendant que d’autres la perdent parce qu’ils n’en n’ont pas. C’est pourquoi, nous revendiquons notamment une augmentation des salaires et des pensions avec, comme référence, le SMIC à 1800 euros, une réduction du temps de travail avec, comme référence, une durée de 32 heures hebdomadaire, un nouveau statut du travail et une sécurité sociale professionnelle, une protection sociale de haut niveau, des moyens supplémentaires pour les services publics, comme par exemple la santé, la culture et l’éducation, et la construction d’une véritable Europe sociale. Nous nous félicitons que, pour une part, ces propositions soient reprises par certains candidats. Dans un pays où les 40 plus grandes entreprises viennent de dégager 75 milliards d’euros de bénéfices et de verser à leurs actionnaires près de 500 milliards en 10 ans, les moyens existent. Nous alertons le monde du travail contre ceux, à l’extrême droite, dont le FN est l’un des porte-drapeaux, qui prônent la division des travailleurs du fait de leur origine, leur statut ou leur situation sociale. Diviser pour mieux régner, c’est un vieux dicton toujours d’actualité aux yeux de certains. C’est aussi une façon de ménager et de servir les véritables responsables de la crise qui continuent de s’enrichir de façon insolente. Alors qu’au contraire les salariés ont besoin d’être unis. Ceux qui veulent faire porter au syndicalisme la responsabilité des problèmes de notre pays, jouent à un jeu dangereux. Restreindre le rôle et la place du syndicalisme en imposant de nouvelles règles de démocratie sociale, en favorisant la création de pseudo syndicats ou d’associations pour accompagner les décisions patronales ou gouvernementales, ce n’est pas un signe de modernité et cela dessert l’intérêt des salariés. Il faut d’abord renforcer le rôle et la place des syndicats en faisant respecter une liberté essentielle, le droit de se syndiquer, de militer et de revendiquer sans peur des représailles. La liberté syndicale fait partie des droits fondamentaux. Voter est un droit dont beaucoup de citoyens dans le monde, sont privés. C’est la marque de la démocratie, les travailleurs doivent s’en saisir. Les exigences et les choix du peuple doivent être respectés avant, pendant et après les élections. Les salariés doivent être entendus lorsqu’ils se mobilisent, lorsqu’ils revendiquent et qu’ils proposent des alternatives. Nous refusons d’avoir le choix entre le pire et le moins pire. Nous voulons le meilleur.

    Montreuil, le 24 mars 2017

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  • Echos de campagne

     

    Nous avons évoqué récemment la tenue d'une réunion des représentants des différents comités de soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon, à Poggio di Venaco (1). Nous avons profité de l'occasion pour effectuer quelques interviewes. Nous avons voulu savoir, entre autres, quelles étaient les motivations qui ont poussé des hommes et de femmes, des jeunes et des moins jeunes à s'engager dans une bataille qui s'annonce à la fois enthousiaste et difficile. Extraits.

     

     

     

     

     

     

    (1) http://www.mancalternativa.com/le-rendez-vous-de-poggio-di-venaco-a128924040

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  • Echos de campagne

    On continue plus que jamais

    Nous sommes entrés dans la dernière ligne droite pour l’élection présidentielle.L’enjeu est fort, car il s’agit de mettre fin à l’austérité  mise en œuvre  depuis plusieurs décennies par le libéralisme. La Corse n’est pas épargnée. C’est pourquoi, les candidats de la Corse Insoumise aux élections législatives  dans la 1e circonscription de la Corse du Sud, Jacques Casamarta et  Christine Malfroy  vont à la rencontre des citoyens. Après Bastelicaccia ,ce fut le tour d'Afa, mardi soir, 21 mars. 

    On continue plus que jamaisBonne rencontre, échanges très intéressants, notamment sur la 6e République, l’emploi, les retraites, le dérèglement climatique, le logement, la place de la Corse dans la nouvelle constitution…A noter la présence de plusieurs  jeunes gens, inquiets pour leur avenir, mais bien décidés à s’impliquer dans la campagne et faire connaître le programme de la France Insoumise « l’avenir en commun ». Prochaine rencontre programmée à Sarrola-Carcopino, vendredi 24 mars, 18h, mairie-annexe, quartier Effrico. 

    Robert Armata

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  • Echos de campagne (suite)

     

    Pas question de mollir

    Le rendez-vous de Poggio di Venaco

    Une vingtaine de représentants des comités Corse insoumise (Corsica ribella) se sont retrouvés, samedi 11 mars, à Poggio di Venaco. Ils venaient des différentes micros régions de notre île. Au menu : le point de la situation politique et l’état de l’engagement des militants dans la campagne électorale non seulement de la présidentielle mais également des législatives.

    Pour l’heure, près de mille habitants de la Corse ont apporté directement leur soutien à Jean-Luc Mélenchon et au programme l’Avenir en commun. Plusieurs comités de base se sont constitués ou en voie de constitution, notamment à Ajaccio, Bastia, Ocana, Porto-Ota, Porto-Vecchio, Bonifacio, etc.

    Le rendez-vous de Poggio di VenacoIl a été constaté que la campagne électorale, au niveau médiatique, est de plus en plus dure, délétère et passablement orientée. Le contraire eut été bougrement étonnant. Les media – détenus pour l’essentiel par de grands groupes – rivalisent d’ardeur pour masquer la réalité de la situation économique et sociale du pays, préférant insister sur des affaires plus ou moins sordides concernant François Fillon, le vertueux de la Sarthe et Marine Le Pen, alias la blanche colombe aux ailes propres. Dans le tintamarre général la candidature de Jean-Luc Mélenchon est superbement soit ignorée, soit calomnié, discréditée. A ce point, on peut se poser la question pourquoi autant de hargne pour un candidat insignifiant ? La machine à sondages roule à fond. Elle promotionne Emmanuel Macron et l’égérie du Front national. Le premier cité se veut l’incarnation de la modernité, le champion du ni à gauche ni à droite. Notre champion d’En marche vers le passé veut réconcilier l’inconciliable. Comment peut-on unir les intérêts d’un smicard avec ceux d’un Rothschild ? Déjà un nombre certain d’opportunistes de tout poil se ruent vers le Rastignac des temps moderne. Seul candidat – paraît-il capable de faire barrage à la châtelaine de Montretout, celle qui connaît les difficultés de millions de Français, pour avoir sué sang et eau pendant des années sur une chaîne de montage ou comme caissière dans une grande surface. Alors notre homme – nouveau sauveur de la France – en appelle au vote inutile. Naguère le vote inutile, c’était pour le Parti socialiste. On a vu ce que cela a donné au cours des trois dernières décennies. Il est bon de souligner que notre Macron est un pur produit du système, de l’oligarchie financière et des multinationales. Le Capital a compris très vite qu’en Europe et en France, un courant anti système et anti parti est en train de se développer. C’est pour cette raison qu’il a suscité et appuie Emmanuel macron. Les partis politiques traditionnels sont grillés. Eh bien ! On s’en passera. Plus explicitement le Capital prend directement en main la direction des affaires politiques. Toutefois, il a plusieurs fers au feu. Par exemple – on ne sait jamais – il pourrait se servir de François Fillon, si d’aventure celui-ci connaîtrait un miraculeux sursaut. Et ultime recours, notre Marine nationale. Souvenons-nous de la grande dépression de 1929 qui a vu la montée inexorable du fascisme et du nazisme. en Europe. Pour servir quels intérêts, sinon ceux du Capital.

    Donc, la tâche est rude pour les militants de Corsica ribella, mais nonLe rendez-vous de Poggio di Venaco impossible. Ne disposant pas de l’appui des media, il faudra compter sur soi-même et mener une dure campagne d‘explication sur le terrain, en direct avec les populations, sur la base du programme l’Avenir en commun, avec une lecture régionale. Par exemple, comment ce programme peut apporter des réponses à des problèmes qui se posent avec acuité et gravité à la Corse : le chômage, le manque de logements sociaux, la casta et les dynasties politiques, le développement économique, les déchets ménagers et industriels, l’état de l’agriculture insulaire, l’eau, les transports, etc.

    Autre question débattue, lors de la rencontre de Poggio di Venaco : les législatives. Elles sont indissociables de la présidentielle. Il est nécessaire de s’en préoccuper dès maintenant. Les comités Corse insoumise ont décidé, dans un premier temps, de présenter des candidats dans la première circonscription de la Corse du Sud, avec Jacques Casamarta et Christine Malfroy, dans la première circonscription de la Haute Corse, avec Catalina Laurenti et Claude Franceschi. Les autres circonscriptions feront l’objet d’un examen approfondi dans la perspective de dégager éventuellement des candidatures.

    Une idée forte est venue dans le débat : il n’est pas question de renoncer à la lutte pour la candidature de Jean-Luc Mélenchon, au nom d’une pseudo nouvelle unité de la gauche, cornaquée par Benoît Hamon. Unité de la gauche qui a fait faillite plus d’une fois dans le passé. Chat échaudé n’y revient jamais.

    Une prochaine réunion est prévue dans les quinze jours.

    Le rendez-vous de Poggio di Venaco

     

     

     

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